Series US : Bilan de Mi-saison (2eme partie)
On continue notre bilan de mi-saison des séries US en ce jour de noël, histoire de préparer la hotte de noël prochain ^^
Fringe :
La nouvelle série de J.J. Abrams (Lost, Alias) navigue sur la vague X-Files avec un traitement plus moderne (style FBI Portés Disparus avec du surnaturel dedans) mais n'hésite pas à en faire des tonnes. On sent que dans cette première partie de saison les personnages ne se sont pas dévoilés, n'ont pas encore évolués véritablement et on reste pour l'instant dans un flou total...
C'est peut être le problême avec J.J. et ses scénaristes, à vouloir faire trop de mystères, trop vite, ils prennent tout le temps le risque de larguer le spectateur... En attendant, à défaut d'être entièrement maitrisée la série est manifestement intéressante comme divertissante et il vaut mieux attendre la saison complète pour se faire une opinion fixée.
Note : 13 / 20
Heroes :
Le 3eme chapitre, Vilains, vient de s'achever e elle à apporté son lot de nouveaux personnages, de retournement de situations, de changements de rôles et une véritable surexploitation de Sylar (Dans le rôle du gentil, du méchant, du manipulé, du manipulateur et même dans le rôle du Joker cherchant à prouver qu'on a tous un méchant à l'interieur.). Cependant on peut tout de même apprécier l'histoire donnant enfin a Matt Parkman un peu plus de contenu et une petite speedster adorable et touchante (on évitera de souligner que le coup de la paralysée qui peut marcher grace aux pouvoirs, on nous l'a déja fait le coup dans pas mal de comics.) Enfin des guest stars de qualitée sont venus jouer leur petit rôle pour notre plus grand plaisir.
Le point le plus négatif de ce chapitre est certainement la stupidité du sénateur Nathan Petrelli qui passe de faux gentil caricature du modêle Américain au statut de trou du cul en chef de la série, incapable d'écouter qui que ce soit et de tirer une quelconque leçon des évenements. Enfin la partie Claire/Noah est toujours débordante de bons sentiments et la guimauve commence un peu a rester sur l'estomac...
Note : 14 / 20
Urgences :
Au bout de 15 saisons il serait compréhensible que la série s'éssoufle un bout. Il est assez surprenant de constater que non, même si les personnages changent la série reste la même et l'intéret reste maximal.
Sans vouloir trop en dévoiler la saison commence fort avec la mort d'un personnage principal des le premier épisode. On apprendra ensuite a découvrir les nouveaux internes et la nouvelle chef des urgences, le docteur Banfield. Un personnage serieux et torturé qui saura énnerver mais aussi toucher, un personnage parfaitement humain dont les cicatrices seront dévoilées aux fil des épisodes. J'avais suivi les saisons précedentes avec beaucoup moins d'intéret mais cette saison étant à priori la dernière les scénaristes ont sans doutes donnés leur meilleur sur ce coup.
Note : 17 / 20
Fringe :
La nouvelle série de J.J. Abrams (Lost, Alias) navigue sur la vague X-Files avec un traitement plus moderne (style FBI Portés Disparus avec du surnaturel dedans) mais n'hésite pas à en faire des tonnes. On sent que dans cette première partie de saison les personnages ne se sont pas dévoilés, n'ont pas encore évolués véritablement et on reste pour l'instant dans un flou total...
C'est peut être le problême avec J.J. et ses scénaristes, à vouloir faire trop de mystères, trop vite, ils prennent tout le temps le risque de larguer le spectateur... En attendant, à défaut d'être entièrement maitrisée la série est manifestement intéressante comme divertissante et il vaut mieux attendre la saison complète pour se faire une opinion fixée.
Note : 13 / 20
Heroes :
Le 3eme chapitre, Vilains, vient de s'achever e elle à apporté son lot de nouveaux personnages, de retournement de situations, de changements de rôles et une véritable surexploitation de Sylar (Dans le rôle du gentil, du méchant, du manipulé, du manipulateur et même dans le rôle du Joker cherchant à prouver qu'on a tous un méchant à l'interieur.). Cependant on peut tout de même apprécier l'histoire donnant enfin a Matt Parkman un peu plus de contenu et une petite speedster adorable et touchante (on évitera de souligner que le coup de la paralysée qui peut marcher grace aux pouvoirs, on nous l'a déja fait le coup dans pas mal de comics.) Enfin des guest stars de qualitée sont venus jouer leur petit rôle pour notre plus grand plaisir.
Le point le plus négatif de ce chapitre est certainement la stupidité du sénateur Nathan Petrelli qui passe de faux gentil caricature du modêle Américain au statut de trou du cul en chef de la série, incapable d'écouter qui que ce soit et de tirer une quelconque leçon des évenements. Enfin la partie Claire/Noah est toujours débordante de bons sentiments et la guimauve commence un peu a rester sur l'estomac...
Note : 14 / 20
Urgences :
Au bout de 15 saisons il serait compréhensible que la série s'éssoufle un bout. Il est assez surprenant de constater que non, même si les personnages changent la série reste la même et l'intéret reste maximal.
Sans vouloir trop en dévoiler la saison commence fort avec la mort d'un personnage principal des le premier épisode. On apprendra ensuite a découvrir les nouveaux internes et la nouvelle chef des urgences, le docteur Banfield. Un personnage serieux et torturé qui saura énnerver mais aussi toucher, un personnage parfaitement humain dont les cicatrices seront dévoilées aux fil des épisodes. J'avais suivi les saisons précedentes avec beaucoup moins d'intéret mais cette saison étant à priori la dernière les scénaristes ont sans doutes donnés leur meilleur sur ce coup.
Note : 17 / 20